Cette nouvelle bouleverse tout l’écosystème crypto. La Banque de France examine de près la technologie de Ripple, connue sous le nom de XRPL. Elle l’applique à son projet d’euro numérique (CBDC). Un rapport frais de l’Ulster University sort en ce début de novembre 2025. Il atteste ces essais pilotes et ces analyses approfondies. Le but vise une intégration de niveau enterprise-grade. Cela signifie un cadre professionnel et ultra-sécurisé. Le marché répond sans tarder. Le cours du XRP bondit de 4,2 %. Il touche les 2,49 dollar. Pendant ce temps, le Bitcoin tient bon à 110 000 dollars.
XRP à 2.5$, inflation en baisse : le climat parfait pour l’Euro numérique
L’environnement économique mondial joue en faveur de ces avancées. Les frictions commerciales entre la Chine et les États-Unis s’apaisent enfin. Les discussions progressent à bon rythme. L’inflation décélère en Europe et de l’autre côté de l’Atlantique. Ce décor plus serein booste les innovations numériques majeures. Les banques centrales parviennent à envisager l’avenir à moyen terme.
Le Bitcoin se stabilise au-delà des 110 000 dollars. L’Ethereum dépasse les 4 000 dollars. Dans cette atmosphère de confiance revenue, les banques centrales poussent les feux sur les monnaies numériques (CBDC). En réalité, les essais pilotes pullulent sur le vieux continent. L’Europe cherche une solution interopérable et robuste pour son euro numérique. Elle refuse de traîner derrière la Chine et son eCNY.
1500 transactions/sec : pourquoi la technologie de Ripple a été choisie
Pourquoi Ripple séduit-il tant les banques ? Le XRPL public, cœur du réseau Ripple, brille par sa vitesse. Il traite jusqu’à 1500 transactions par seconde. En plus, il excelle en efficacité énergétique.
Cependant, cela ne constitue pas l’argument central. Ripple offre une variante privée de son ledger, ce registre des transactions. Cette option s’ajuste parfaitement aux exigences des banques centrales. En y regardant bien, la Banque de France rejette une blockchain publique. Tout le monde y participe librement, comme pour le Bitcoin.
Elle exige une gouvernance maîtrisée et des transactions permissionnées, avec autorisation préalable. Le rapport de l’Ulster University approuve ces avantages. Imaginez Ripple comme une autoroute privée et blindée. En comparaison, le Bitcoin ressemble à une voie publique accessible à quiconque. Ripple travaille déjà avec d’autres banques centrales. Par exemple, en Colombie et au Monténégro, sur des initiatives semblables.
Le prix du XRP grimpe de 4,2 % : l’impact immédiat de l’annonce
Le marché s’emballe en un clin d’œil. Le cours du token XRP s’envole de 4,2 % pour atteindre 2,49 dollars. Cette info dope la crédibilité de l’entreprise Ripple. La Banque de France représente une entité de poids. Elle teste cette tech parce qu’elle y décèle un atout stratégique.
Le rapport de l’Ulster University, intitulé « Central Bank Digital Currencies – Lessons from China« , place Ripple parmi les plateformes les plus crédibles. L’un des pilotes actuels reproduit des paiements transfrontaliers.
Retenez ce détail essentiel : ces essais évitent le token XRP public. Ils exploitent la tech de base, le XRPL privé. Pour illustrer, imaginez un virement entre banques en un instant. Sans les intermédiaires onéreux d’habitude. Voilà pourquoi l’impact sur le cours du XRP demeure positif. Il légitime tout l’écosystème Ripple. Des comptes sur X affirment que les échanges avancent vite.
La Banque de France valide la blockchain : une révolution pour les paiements en Europe
En somme, la Banque de France pose une pierre angulaire. L’emploi de la tech Ripple pour l’euro numérique marque un bond énorme. Le contexte macroéconomique, avec le reflux de l’inflation, appuie cette initiative audacieuse. Les analyses confirment l’usage enterprise-grade de Ripple pour des paiements blindés.
À bien y réfléchir, les prochains trimestres s’annoncent décisifs. Les instances guettent les retours de ces essais concrets. Ce mouvement trace des chemins novateurs. Il fusionne la banque classique et la blockchain. La France, grâce à ces tests, s’impose comme leader de l’adoption institutionnelle en Europe.