Shiba Inu a rassemblé un public qui est maintenant trop important pour être ignoré, et donc, afin de justifier son existence et ses investissements, la monnaie mème a tenté de développer rapidement son écosystème.
La semaine dernière, le réseau a commencé à vendre ses terrains SHIB : The Metaverse et, à peu près au même moment, il a également annoncé le lancement de son portail SHIB Burn.
En une semaine, le portail a enregistré la combustion de plus de 20 milliards de SHIB de l’offre en circulation. Cette fonction de combustion est en fait le choix de l’utilisateur, et elle ne fait rien d’autre que de montrer son engagement à faire du SHIB une monnaie durable et précieuse en réduisant l’offre en circulation dans le but de faire monter le cours.
Shiba Inu essaie simplement de trouver un moyen de transformer la plaisanterie de son existence en un but légitime puisque, pour des raisons évidentes, une monnaie avec des trillions de réserves n’aura jamais une valeur élevée.
Mais même avec la fonction « burn », SHIB a un long chemin à parcourir puisque la monnaie mème ne vaut même pas 1 Satoshi pour le moment, donc atteindre 1$ est impossible.
De plus, au lieu d’augmenter le prix, SHIB n’a fait que baisser davantage. Après la chute de 14 % du prix au cours des dernières 72 heures, SHIB est tombé à son plus bas niveau depuis 7 mois, s’échangeant à 0,00002083 $.
Les investisseurs n’étaient pas particulièrement satisfaits de l’évolution du cours de la pièce, c’est pourquoi entre mars et aujourd’hui, plus de 70 000 détenteurs de SHIB ont quitté le marché. Et maintenant, avec ce développement, il est devenu beaucoup plus difficile pour eux de maintenir leur « dévouement et engagement » à l’altcoin.
Ainsi, le soutien de la communauté et les tentatives de suivre la tendance aident Shib Inu à rester pertinent, mais quand tout se résume à l’utilité et à la fondation de la chaîne, SHIB pourrait poursuivre son déclin, car il ne peut pas surfer sur la hype pendant trop longtemps et possède pas de soutiens de poids comme le Dogecoin.
